Monitoring de la durabilité de la production laitière
1. Santé animale
Le producteur laitier a conclu un contrat de guidance avec son vétérinaire d'exploitation.
Le taux cellulaire des vaches individuelles est déterminé de façon structurée.
Le taux cellulaire des vaches individuelles est déterminé de façon structurée.
Si le producteur fait le contrôle laitier, moins de 15 % des vaches requièrent une attention particulière pour le taux cellulaire.
Un plan d'approche argumenté pour une utilisation responsable des antibiotiques, révisé chaque année (par exemple en collaboration avec votre vétérinaire).
Effectuer une mesure dynamique de l'installation de traite (moins de 3 ans).
Participation active au programme de contrôle de la paratuberculose.
Participation active au programme de lutte contre les maladies du bétail.
Participation active au programme de lutte contre les maladies du bétail.
Participation active au programme de contrôle de l'IBR.
Participation active au programme de contrôle de BVD.
Achat externe de vaches pour l'exploitation laitière.
Si achat externe: l'achat des animaux s'effectue selon le protocole d'achat (ARSIA/Cerise ou autre laboratoire accrédité)
2. Bien-être animal
Les vaches laitières sont logées dans une stabulation libre suffisamment éclairée, ventilée, spacieuse et confortable : à titre indicatif min. 40 m³/animal (vaches laitières, taries comprises).
Une/des brosse(s) par groupe de vaches en production.
Les vaches en production sont tondues à la fin de la saison pour entretenir l'épiderme.
L'âge moyen du troupeau de vaches en production >6 ans et/ou le taux de remplacement <30%.
Le producteur évalue le bien-être des animaux via un score ou une application ou des indicateurs de bien-être animal.
Le producteur évalue le bien-être des animaux via un score ou une application ou des indicateurs de bien-être animal.
3. Environnement
Participation aux mesures agro-environnementales et climatiques (MAEC)
La possession des outils spécifiques pour améliorer la qualité du sol/eau (pex charrue) ou contrat avec des associations de sauvegarde de la nature pour améliorer la biodiversité (non subventionné par les autorités).
Participation à un programme pour le maintien des nids d’hirondelles auprès des autorités locales ou préserve les nids d’hirondelle.
Le producteur assure le traitement écologique des déchets.
Le producteur n'utilise pas des produits généralisés contre les insectes, acariens et parasites, mais des procédures de lutte sélectives et respectueuses de l'environnement (plaques, pièges, contact).
Utilise un outil pour calculer les émissions d’ammoniac.
Utilise un outil pour calculer les émissions d’ammoniac.
Utilise un outil pour calculer le bilan azoté.
Utilise un outil pour calculer le bilan azoté.
4. Alimentation
Optimalisation de l'efficacité alimentaire par des analyses des fourrages ensilés et des calculs de rations.
Achats d'aliments concentrés secs < 220 kg par 1.000 litres de lait (aliments simples + aliments concentrés du commerce, co-produits exclus) - à titre indicatif à 88 % ms.
Utilisation des sous-produits de l'industrie alimentaire.
Utilisation des sous-produits de l'industrie alimentaire.
Utilisation d'un outil pour calculer les protéines de sa propre production.
Utilisation d'un outil pour calculer les protéines de sa propre production.
Utilisation de soja certifié responsable.
5. Eau et sol
Analyses de sol standards avec conseils de fumure (tous les 5 ans par bloc de 10 ha) et/ou analyse des engrais organiques de ferme au printemps.
Utilisation des sources d'eau alternatives.
Utilisation des sources d'eau alternatives.
Présence d'une installation d'épuration des eaux.
Présence d'une installation d'épuration des eaux.
Réutilisation de l'eau de rinçage de l'installation de traite.
6. Durabilité sociale & économique
L'exploitation a des activités secondaires.
L'exploitation a des activités secondaires.
Membre d’une CUMA et/ou d'une organisation de producteurs (OP) et/ou d'une coopérative et/ou d'une association de fait et/ou d'un CETA.
Comptabilité d’exploitation agréée par les autorités régionales.
Le producteur est membre d’une organisation agricole.
Le producteur a suivi un cours de secourisme (pas plus de 6 ans).
Si contrôle laitier: durée moyenne de la vie productive (en mois).
7. Energie
Le producteur dispose d'un scan énergétique.
Le producteur limite ses besoins énergétiques primaires.
Le producteur limite ses besoins énergétiques primaires.
Le producteur limite ses besoins énergétiques primaires par la production d'eau chaude avec un chauffe-eau solaire.
Le producteur limite ses besoins énergétiques primaires via le variateur de fréquence, la capacité de la pompe à vide est adaptée aux besoins réels.
Le producteur limite ses besoins énergétiques primaires: l'étable est équipée de lampes économiques (HPS, HPI, LED).
Production de sa propre énergie renouvelable (en kWh).
Production de sa propre énergie renouvelable (en kWh).
Production de sa propre énergie renouvelable (en kWh).
Achat d'électricité verte.
8. Climat
Empreinte carbone individuelle pour l'exploitation (kg CO2-eq par kg lait cru) calculée/ connue.
Empreinte carbone individuelle pour l'exploitation (kg CO2-eq par kg lait cru) calculée/ connue.
Empreinte carbone individuelle pour l'exploitation (kg CO2-eq par kg lait cru) calculée/ connue.
Utilisation locale de fumier : les effluents sont entièrement épandus sur ses propres terres et/ou accord de voisinage.
9. Convention émissions entériques
Le producteur utilise des races à deux fins.
Utilise du sperme sexé ou recourt à des croisements commerciaux.
Le producteur utilise l'additif alimentaire 3-NOP, par exemple Bovaer (60ppm au total dans la ration) pour réduire les émissions de méthane.
Le producteur utilise drêche de brasserie - tourteaux de colza dans des proportions spécifiques par rapport à la ration totale pour réduire les émissions de méthane.
Le producteur utilise des graines de lin extrudées ou expansées (400gr de graisse par jour) pour réduire les émissions de méthane.
Le producteur utilise du nitrate (1% de la ration totale) pour réduire les émissions de méthane.
Le producteur utilise de la graisse de colza (350g par jour) pour réduire les émissions de méthane.
Le producteur utilise une combinaison du nitrate (1% de la ration totale) et de la graisse de colza (350g par jour) pour réduire les émissions de méthane.
Le producteur utilise une combinaison du nitrate (1% de la ration totale) et des graines de lin extrudées ou expansées (400gr de graisse par jour) pour réduire les émissions de méthane.
Le producteur utilise une combinaison de graines de lin extrudées ou expansées (400g de matière grasse par jour) et de 3-NOP afin de réduire les émissions de méthane.
Pas d'initiative
Aucune initiative n'est prise dans mon exploitation (cela n'a pas d'influence sur le certificat QFL)
Transmission des résultats
Inscrire 'non' si le producteur ne souhaite pas que son inventaire durabilité soit transmis à la laiterie.