L'aspect sanitaire général des animaux est-il évalué tous les jours (état de la peau, du pis, des articulations, ...) ? L'intégrité physique des animaux est-elle assurée ?
L'exploitation et ses abords ont-ils une apparence soignée et propre ?
Le détenteur de bétail est-il enregistré à l'AFSCA (Belgique) - France : enregistrement ?
Le producteur a-t-il signé la déclaration d'engagement à respecter le cahier des charges QFL et à accepter l'audit ?
Point non applicable en Belgique et en France
Point non applicable en Belgique et en France
Point non applicable en Belgique et en France
général
Y a-t-il un pédiluve à l'entrée de l'exploitation ? Les tiers portent-ils des vêtements de travail et chaussures de travail, se lavent-ils les mains en quittant l'exploitation et nettoient-ils et désinfectent-ils les objets ayant été en contact avec les animaux ?
Les trayeurs et utilisateurs de l'installation de traite se lavent-ils les mains avant d'entamer la traite et répètent-ils au besoin cette opération pendant la traite ?
Les trayeurs et utilisateurs de l'installation de traite portent-ils des vêtements de traite propres et adaptés ?
Local phyto : est-il fermé à clé, ventilé, éclairé, à l'abri du gel, avec les pictogrammes ?
Produits : sont-ils dans leur emballage d'origine avec l'étiquette d'origine ? Y a-t-il une bonne gestion des périmés et/ou privés ? Y a-t-il une balance ou mesurette ?
Après application de PPP, l'utilisateur se lave-t-il les mains au savon et change-t-il de vêtements ?
Les conditionnements vides sont-ils rincés, conservés en sécurité et éliminés selon la législation en vigueur (Belgique : "Phytofar Recover") ?
contrôle administratif
L'identification, l'enregistrement et les statuts sanitaires du cheptel laitier sont-ils en conformité avec la législation (Belgique : SANITEL - France : tous les animaux détenus (nés ou achetés) depuis plus d'un mois ont un passeport valide avec une ASDA verte ou jaune) ?
Sanitel est-il tenu à jour en fonction des mouvements et de la mortalité du bétail ? (France : tout évènement est notifié au maître d'oeuvre de l'identification dans un délai maximum de 7 jours. Une trace écrite ou informatique des dates de notification est disponible à l'exploitation. L'éleveur conserve une information sur la destination des bovins).
Le contrat avec le vétérinaire d'exploitation + suppléant est-il présent ? (Nom des vétérinaires ou personne morale vétérinaire) - France : toute exploitation bovine a un vétérinaire sanitaire d'élevage habilité par la DD(CS)PP
Le contrat de guidance avec le vétérinaire d'exploitation est-il présent s'il y a stockage de médicaments pour une période de plus de 3 semaines (max. 2 mois) ? (noter la date du contrat) - France : pas d'application
S'il y a guidance :
- les rapports de guidance établis tous les 4 mois par le vétérinaire de guidance sont-ils présents (dates des rapports) ?
France : une visite sanitaire bovine (VSB) est-elle effectuée chaque année par le vétérinaire sanitaire de l'élevage ? La conclusion de la visite est-elle satisfaisante ou les recommandations proposées sont-elles mises en oeuvre ?
S'il y a guidance :
- le registre de sortie des médicaments est-il signé tous les 2 mois par le vétérinaire de guidance ?
Les vétérinaires d'exploitation sont-ils certifiés DQV ou IKB-Vet ou BPV ?
France : pas d'application.
Le producteur participe-t-il au plan de contrôle sur la paratuberculose ? Si non, l'attestation paratuberculose est-elle complétée et signée une fois par an par le producteur et le vétérinaire d'exploitation ? - France : l'éleveur respecte-t-il le référentiel technique d'une garantie de cheptel en matière de paratuberculose bovine de l'ACERSA ?
Quel est le statut IBR du troupeau ? En cas de statut I1, les animaux ne peuvent pas être mis en prairie et ne peuvent quitter le troupeau que pour l'abattoir. - France : l'arrêté ministériel du 27/11/06 modifié par l'arrêté du 25/05/10 est-il respecté ?
Le lait fourni aux acheteurs est-il soumis à la réglementation concernant la détermination officielle de la qualité et de la composition du lait (voir rapports d'analyse) ?
La procédure en cas de résultats défavorables est-elle respectée ?
Le producteur informe-t-il son acheteur lorsqu'il suspecte ou constate un problème avec son lait dans le refroidisseur (température, odeur, couleur, substances inhibitrices, produits de nettoyage, corps étranger, ...) ?
Le producteur fait-il effectuer les analyses à l'achat de nouveau bétail ? - France : tout bovin introduit dans une exploitation doit être en conformité avec l'arrêté du 21/01/09.
Le producteur peut-il justifier la présence et l'emploi des médicaments vétérinaires (Belgique : DAF) ?
Les prescriptions et/ou les documents d'administration et de fourniture (DAF) sont-ils conservés et classés chronologiquement avec une numérotation unique ? S'il y a utilisation d'AB critiques, les documents justificatifs sont-ils présents ? - France : présence des ordonnances.
Tous les médicaments vétérinaires contenant des antibiotiques présents à l’exploitation sont-ils enregistrés par le fournisseur/vétérinaire dans la base de données Bigame/AB-Register (à partir du 01/01/2018) ?
Les aliments (à l'exception de ceuix conditionnés sous forme d'unités non reconditionnées traçables - ex. : seaux de minéraux, pierres à lécher, ...) proviennent-ils de fabricants en possession d'un agrément FCA ? (voir preuve d'achat : nom du fournisseur) - France : les fabricants d'aliments doivent être reconnus.
Les composants des aliments composés sont-ils connus et agréés ? (voir étiquettes de composition)
Production d'aliments composés :
- les matières premières ne figurent-elles pas sur la liste européenne négative ?
- le protéines animales ne sont-elles pas transformées ?
- les protéines et graisses animales sont-elles contrôlées ?
Les documents relatifs aux matières premières sont-ils conservés (type, quantité, fournisseur) ? Y a-t-il un enregistrement des aliments composés stockés ?
S'il y a échange d'aliments entre agriculteurs, le registre est-il tenu à jour (nom vendeur - type aliment - quantité - date de livraison) ?
S'il y a trempage ou pulvérisation des trayons après la traite, cela se fait-il avec des produits autorisés ? (voir factures : nom du produit)
Pour le nettoyage de l'installation de traite et du tank à lait, n'utilise-t-on que des produits adéquats et agréés ? (voir factures : nom des produits)
Le filtre est-il remplacé à chaque traite ? Pour la traite robotisée, le filtre est-il remplacé toutes les 12h ? (voir factures)
Si l'eau d'abreuvement à l'étable n'est pas de l'eau de distribution, le résultat de l'analyse d'eau est-il conforme aux normes : nitrates < 200 mg/l, nitrites < 1,0 mg/l, germes totaux < 100.000/ml, coliformes < 100/ml ? L'échantillon a-t-il été prélevé et analysé par un laboratoire accrédité ? (nom du laboratoire)
L'analyse d'eau d'abreuvement est-elle réalisée au moins une fois tous les 2 ans ? (2 dates)
Si l'eau utilisée pour le nettoyage et le rinçage de l'installation de traite et/ou du tank à lait n'est pas de l'eau de distribution, l'analyse effectuée répond-elle aux normes suivantes : nitrates < 50 mg/l, nitrites < 0,5 mg/l, germes < 100/ml, coliformes totaux < 10/100 ml, E. coli < 1/100 ml ? L'échantillon a-t-il été prélevé et analysé par un laboratoire accrédité ? (nom du laboratoire)
L'analyse de l'eau de nettoyage de l'installation de traite et/ou du tank à lait est-elle effectuée au moins une fois tous les 2 ans ? (2 dates)
Après utilisation de produits de nettoyage, l'installation de traite et le refroidisseur sont-ils systématiquement rinçés à l'eau potable ?
La/les installations de traite (mobile et fixe) sont-elles testées par un technicien agréé (Belgique) ? Les installations fonctionnent-elles bien ? (voir rapport testage : noter le nom du technicien) ? - France : voir contrôle annuel Optitraite.
C9* : les points C12-D20-D21-D23-D24-D26 du cahier des charges sont repris dans le point C9*
Le testage des installations de traite est-il effectué au moins une fois par an (3 dates) ?
S'il s'agit d'un système de traite robotisée, ce test est effectué au moins 2 fois par an.
Lors de l'installation d'une nouvelle machine à traire ou en cas de rénovation d'une machine à traire existante, une réception a-t-elle été effectuée ? (Belgique : testage en commun par un représentant de l'installateur et un représentant du Comité du Lait) - France : en cas d'installation postérieure à 2006, réalisation d'un contrôle Certitraite s'il est proposé dans le département.
Le ou les refroidisseurs sont-ils testés par un technicien agréé (Belgique) ? (voir rapport : noter le nom du technicien)
C14* : les points C21-C22-C23-C25-C26-D30-D32 du cahier des charges sont repris dans le point C14*
France : testage par un spécialiste
Le testage du refroidisseur est-il effectué tous les 2 ans (2 dates) ?
Y a-t-il un enregistrement des traitements des cultures (épandage, protection des plantes, irrigation, semences, conservants d'ensilage, ...) ? (voir fiche culture)
Le producteur n'utilise-t-il que des engrais et produits phyto-pharmaceutiques autorisés selon les prescriptions de l'étiquette (nom du produit) ? Le pulvérisateur est-il bien contrôlé tous les 3 ans (date)? Le producteur est-il en possession d'une phytolicence adéquate ?
France : l'éleveur a-t-il l'agrément Certiphyto (agrément valable pour 10 ans) ? Pulvérisateurs : le premier contrôle a-t-il eu lieu au plus tard 5 ans après sa première mise sur le marché ? Le contrôle est-il renouvelé tous les 5 ans ?
L'utilisation de composts et de boues d'épuration se fait-elle conformément aux recommandations de la législation régionale ? (voir document de l'OWD, résultats d'analyse, fiche culture).
Les boues d'égouts et d'épuration provenant de stations d'épuration des eaux sont interdites.
Lors de l'administration de médicaments, le délai d'attente est-il respecté ? Les traitements sont-ils enregistrés ?
France : le carnet sanitaire est-il tenu à jour ?
Un test est-il effectué sur le lait de vaches traitées avant de relivrer ce lait ? (voir enregistrement de la date du test OK)
L'exploitation respecte-t-elle les dispositions de l'AGW du 15.02.07 ? (voir document taux de liaison au sol)
France : l'éleveur prévoit et enregistre ses pratiques de fertilisation.
L'exploitation respecte-t-elle les dispositions relatives au permis d'environnement et au permis d'urbanisme (permis d'environnement, d'urbanisme ou unique ou déclaration) ?
L'exploitation disposant d'un puits privé est-elle en possession de son autorisation ou de sa déclaration de captage ?
S'il y a fourniture de lait écrémé, le plan HACCP est-il présent ?
Le producteur informe-t-il son acheteur lors de travaux de construction ou de rénovation qui pourraient avoir une influence négative sur l’hygiène de la traite et de la conservation du lait ? Les exigences en matière d’hygiène sont-elles respectées ?
La checklist "Monitoring de la durabilité de la production laitière" est-elle complétée et signée ?
laiterie
Les refroidisseurs extérieurs répondent-ils aux normes suivantes : propre, pourvu d'un nettoyage automatique, trou d'homme et de ventilation sécurisé, commandes et système de surveillance dans le local de stockage, possibilité de juger le lait dans le local de stockage, robinet pour prélever un échantillon (tanks placés entre le 01/03/2010 et le 31/05/2017), vanne standardisée ?
Les refroidisseurs verticaux extérieurs installés à partir du 01/06/2017 sont-ils pourvus d’un robinet pour prélever un échantillon de lait ?
Le lait est-il stocké dans le refroidisseur dans les 30 minutes au maximum après la fin de la traite ?
La capacité du refroidisseur est-elle adaptée au rythme de collecte ? N'y a-t-il pas de récipients pour le stockage du lait à côté du refroidisseur ?
Les nouveaux refroidisseurs (ou les refroidisseurs d'occasion si >2000 l et fermés) sont-ils équipés d' une vanne avec sortie standardisée ?
L'intérieur et l'extérieur du refroidisseur, la vanne, le couvercle, le système de fermeture, l'escabeau sont-ils nettoyés et propres ?
Pour les nouveaux bâtiments ou en cas de rénovation, le local de stockage est-il suffisamment grand pour permettre un accès autour du refroidisseur ?
Le refroidisseur est-il nettoyé après chaque collecte et un nettoyage à l'acide est-il effectué une fois tous les 15 jours au moins ?
Pour les installations de traite (nouvelles ou rénovées) avec nettoyage automatique, un système anti-retour est-il placé ?
Le refroidisseur est-il équipé d'un thermomètre ayant une graduation par 1°C ou moins ?
Le lait est-il refroidi à 4°C max et 1°C min dans les 2h après la fin de la traite ?
Entre deux traites, la température de conservation du lait n'est-elle pas supérieure à 4°C et inférieure à 1°C ? Lors de l'ajout de lait frais, la température du lait n'excède-t-elle pas 10°C (15°C pour la traite en pâture) pendant plus de 30 minutes ?
Le local de stockage (murs, sols, plafond) est-il construit en matériaux résistants et lavables ?
Le local de stockage est-il propre ?
N'y a-t-il pas d'eau stagnante dans le local de stockage ? Pour les nouveaux bâtiments : évacuation naturelle des liquides; sinon raclage.
Pour les nouvelles constructions ou transformations du local de stockage, la distance entre le refroidisseur et le camion citerne n'excède-t-elle pas 8m ?
Le chemin d'accès au local de stockage a-t-il une largeur minimum de 3m ?
Y a-t-il une porte de séparation efficace entre le local de stockage et les autres bâtiments (salle de traite - étable? Y a-t-il une porte qui donne vers l'extérieur ?
Les animaux n'ont-ils pas accès au local de stockage?
Le local de stockage et la laiterie ne sont-ils utilisés que pour le traitement du lait et le matériel de traite ?
Le lieu de stockage du matériel laitier est-il propre ?
Y a-t-il une ventilation efficace dans le local stockage et la laiterie ?
Y a-t-il des moustiquaires aux portes et fenêtres du local de stockage qui s'ouvrent vers l'extérieur ?
Dans le local de stockage, n'y a-t-il pas de fenêtres ouvrables sur d'autres locaux ?
Le plafond du local de stockage est-il suffisamment haut pour permettre de contrôler le lait dans le refroidisseur et de descendre dans le tank en cas de problème ? Un escabeau est-il présent (échelle pour les nouveaux tanks) ? Y a-t-il un système pour maintenir le couvercle ouvert ?
L'éclairage du local de stockage et de la laiterie est-il satisfaisant jour et nuit ? Les néons sont-ils protégés ?
Pour actionner l'éclairage du local de stockage, y a-t-il un interrupteur éclairé près de la porte d'accès ?
L'éclairage extérieur est-il automatique ou actionné par un interrupteur éclairé ?
L'accès au local de stockage est-il en dur, lavable et propre ?
Dans le local de stockage et/ou la laiterie, y a-t-il un bac de lavage avec de l'eau potable chaude et froide pour le nettoyage du matériel ?
Dans le local de stockage (ou chambre des machines ou local de service attenant au local de stockage), y a-t-il un évier équipé d'eau chaude, du savon, un essuie-mains (ou papier jetable), une poubelle fermée ?
Les produits de nettoyage de l'installation de traite présents cooncordent-ils avec la facture ?
Les produits de nettoyage présents du tank à lait TK correspondent-ils à la facture ?
Les produits de trempage des trayons présents correspondent-ils à la facture ?
En cas de nouvelle construction du local de stockage, une grille d'aération (de préférence réglable) est-elle présente pour le groupe frigorifique ?
Les trayeurs et utilisateurs de l'installation de traite préparent-ils les pis selon les méthodes préconisées ?
Avant de débuter la traite, les premiers jets sont-ils vérifiés ? Lors de la traite en entravée, sont-ils éliminés dans un récipient adéquat ?
L'infofiche de l'exploitation est-elle affichée dans la laiterie ?
contrôle administratif et visuel
Des précautions adéquates sont-elles prises contre les insectes ? Les produits utilisés contre les insectes ne mettent-ils pas le lait ni les animaux en danger ? (voir étiquettes)
Des moyens adéquats sont-ils mis en place contre les nuisibles ? Les produits utilisés contre les nuisibles sont-ils appliqués suivant les recommandations du fabricant et sans mettre la sécurité du lait et des animaux en danger (voir étiquettes)
Les médicaments présents dans le stock sont-ils prescrits par le vétérinaire de guidance ?
France : il existe aussi un bilan sanitaire d'élevage (BSE) annuel qui est volontaire et qui est réalisé par le vétérinaire traitant. Dans ce cas, un protocole de soins est établi. S'il n'y a pas de BSE, aucune délivrance (prescription) de médicament ne peut être effectuée sans que le vétérinaire ait d'abord examiné les bovins à traiter.
Belgique : stock avec guidance, maximum 2 mois; sans guidance, un reliquat d'un médicament utilisé peut être conservé, mais ne pourra être à nouveau utilisé que si un nouveau DAF est émis par le vétérinaire.
France : il peut à tout moment y avoir un stock de médicaments.
Les médicaments sont-ils conservés correctement (local séparé des animaux et de l'habitation personnelle; dans une armoire adéquate avec une porte fermant bien ou, dans un frigo si nécessaire) ?
Les produits vétérinaires périmés sont-ils éliminés du stock ?
Les médicaments sont-ils conservés dans leur emballage d'origine (avec étiquette réglementaire) ?
L'étiquette des médicaments fait-elle référence à un DAF ? (voir concordance médicament / DAF)
France : y a-t-il une ordonnance pour chaque médicament soumis à prescription ?
salle de traite
La salle de traite est-elle conçue de manière à éviter tout danger de contamination du lait ?
La salle de traite est-elle correctement aérée ?
La salle de traite dispose-t-elle d'un éclairage correct pour traire dans de bonnes conditions ?
Le lieu de traite dispose-t-il d'un approvisionnement en eau potable ?
Le matériel de traite et les accessoires sont-ils faciles à nettoyer et à désinfecter et sont-ils propres ?
L'installation de traite est-elle nettoyée après chaque traite ? Un nettoyage à l'acide est-il réalisé au moins une fois par semaine ?
La salle de traite est-elle nettoyée après chaque traite ?
La traite des animaux malades et/ou traités par médicaments et/ou nouvellement achetés se fait-elle séparément des autres animaux ? Y a-t-il des récipients distincts en bon état ?
Le matériel utilisé pour le traite séparée (animaux malades, traités) est-il propre ?
Les endroits par lesquels les vaches entrent et sortent de la salle de traite sont-ils en dur, lavables et propres ?
La salle de traite est-elle facile à nettoyer et propre ?
étable
N'y a-t-il pas d'eau stagnante dans le lieu de traite ? S'il s'agit d'un nouveau bâtiment, les sols du lieu de traite sont-ils aménagés de façon à permettre une évacuation facile des liquides ? La pente est-elle suffisante pour l'évacuation ?
Si la salle de traite se trouve dans l'étable, y a-t-il un système adéquat pour empêcher l'accès aux vaches en dehors des heures de traite ? L'entrée de la salle de traite est-elle propre ?
Si une installation de traite déplaçable est utilisée, l'emplacement du lieu de traite est-il choisi de façon à éviter la contamination (endroit surélevé et sec, déplacé régulièrement) ?
Le lieu de commande du robot est-il séparé, propre et facile d'accès (accès propre, permanent et non amovible) ?
Pour la traite robotisée, le lieu de commande n'est-il pas installé sur les caillebotis et est-il pourvu de murs jusqu'au plafond ? Les murs (jusqu'à 2m de haut) et le sol du lieu de commande sont-ils en matériau lisse et lavable ?
Les griffes ne sont-elles pas entreposées dans l'étable (traite entravée) ?
Y a-t-il une séparation dans l'étable pour les nouveaux bovins achetés ?
Les animaux traités ou taris sont-ils clairement marqués ou identifiés durant toute la période d'attente liée à ce traitement ?
Les bovins portent-ils deux boucles Sanitel ?
Les poils superflus sur les pis sont-ils éliminés ?
Les onglons sont-ils bien soignés ?
Y a-t-il utilisation de BST ?
Le producteur fait-il déplacer ses animaux sans recourir à un aiguillon ou à tout autre objet pointu ?
L'écornage se fait-il selon la législation en vigueur ?
L'étable est-elle propre ?
Si un pédiluve est utilisé pour les bovins, est-il propre et contient-il un produit désinfectant adéquat utilisé selon les fiches techniques du fabricant ? Un pédiluve vide est considéré comme non utilisé
L'étable est-elle conçue de façon à exclure tout risque de blessures (pas d'obstacles, d'objets dangereux, ...) ?
Dans l'étable laitière, l'éclairage est-il suffisant ? Les animaux peuvent-ils s'orienter à tout moment ?
L'aération de l'étable laitière est-elle suffisante pour l'évacuation de la chaleur et des mauvaises odeurs, de façon à éviter toute condensation ?
L'étable laitière n'abrite-t-elle que des vaches et des bovins ? La ventilation des étables abritant d'autres animaux ne se fait-elle pas via l'étable laitière ni la salle de traite ?
L'étable comporte-t-elle autant d'emplacements que de vaches à loger ?
Dans les établies entravées, la position et les dimensions du butoir permettent-elles aux animaux de se coucher et de se lever normalement ?
Dans les étables entravées, les systèmes d'attache permettent-ils aux animaux de se lever, de se coucher, de rester debout et couchés normalement ?
En étable entravée, y a-t-il un abreuvoir pour deux vaches ?
Pour la traite en étable entravée, les litières sont-elles propres et sèches ?
Les aires de couchage sont-elles nettoyées 2x/jour ?
Les dimensions logettes - entravées - litières accumulées sont-elles adaptées à la race et à la population ?
L'eau d'abreuvement et les abreuvoirs sont-ils propres ?
L'eau d'abreuvement des animaux n'est-elle pas polluée par des eaux d'égoût ?
Dans l'étable à litière accumulée, le producteur ajoute-t-il quotidiennement une quantité suffisante de paille fraîche pour que les vaches restent propres ?
Y a-t-il un approvisionnement constant en eau fraîche aussi bien en pâture qu'à l'étable ?
Les vaches peuvent-elles boire à plusieurs à la fois (au moins 2) ?
L'accès aux aliments est-il aisé ?
Les vaches reçoivent-elles des fourrages grossiers de bonne qualité, non souillés ?
Les mangeoires, leurs environs et le matériel utilisé pour alimenter (ex. mélangeuse) sont-ils propres ?
Les vaches ne reçoivent-elles que des aliments destinés aux vaches laitières ? Les aliments sont-ils stockés séparément des aliments destinés aux autres espèces ?
N'utilise-t-on pas de produits ayant une mauvaise influence sur le goût, l'odeur ou la qualité du lait dans l'alimentation (ex. oignons, poireaux, ...) ?
Les vaches entrent-elles et sortent-elles de l'étable par un chemin en dur et qui est nettoyé régulièrement ?
S'il y a un parcours d'exercice pour les vaches, est-il maintenu propre ?
Les aliments sont-ils stockés dans un endroit sec ? Les aliments comportant des moisissures et/ou des souillures sont-ils éliminés ?
Les matériaux utillisés pour le stockage des aliments sont-ils propres et adéquats ?
Les lieux de stockage des fourrages grossiers sont-ils propres, exempts d'impuretés visibles et/ou de matières nuisibles pendant toute la durée du stockage ?
Fourrage : le producteur lutte-t-il contre les organismes nuisibles, les chardons nuisibles ?
Application des PPP: y a-t-il suffisamment de temps avant le pâturage ? Des dispositions sont-elles prises pour éviter de nuire à la santé de l'homme, des animaux, des cultures avoisinantes ?
N'utilise-t-on pas d'eau d'égout pour l'irrigation et y a-t-il un contrôle visuel des semences fourragères ?
France : respecte-t-on un délai de 3 semaines entre épandage d'effluents et pâture ?
Fourrage : les équipements sont-ils propres (véhicules, bennes, ...) ?
Les bidons, pleins ou vides, sont-ils stockés en toute sécurité ?
Les silos de stockage des aliments composés sont-ils identifiés ? Les silos se trouvent-ils sur un sol en dur et propre ?
En saison de pâturage, les vaches disposent-elles d'un espace de pâturage d'au moins 1ha/10UGB vache et/ou d'un approvisionnement suffisant en herbe ?
Les aires de chargement et déchargement des animaux sont-elles faciles à nettoyer ?
Y a-t-il un lieu d'entreposage fixe des cadavres ? Si celui-ci est à la route, les cadavres sont-ils recouverts ?
visuel
notification obligatoire et plaintes
Les produits dangereux sont-ils notifiés à l'AFSCA ?
Les aliments dangereux sont-ils notifiés à l'AFSCA ?
Les maladies (contagieuses) à notification obligatoire sont-elles notifiées à l'AFSCA ?
Y a-t-il eu des plaintes clients ?
Les plaintes sont-elles enregistrées ?
Y a-t-il enregistrement des actions correctives ?
Trop de points B négatifs ou trop d'améliorations à apporter
Le logo IKM/QFL/QMK est-il utilisé selon la procédure définie ?